AtelierCulture scientifique et technique, Recherche
7 juillet 2023 - 8 juillet 2023Villar-d'Arène - Jardin du Lautaret
De 21h30 à 23h30. Soirée animée par des chercheurs et astronomes passionnés, travaillant à l'institut de planétologie et d’astrophysique de Grenoble (IPAG)
De l'oeil nu au téléscope en passant par les jumelles, la tête dans les étoiles
Si vous vous demandiez à quoi servent les lampes frontales rouges dans les magasins d'équipement sportif, voici un cas d'usage concret !
Si vous en avez une, ainsi que des jumelles n'oubliez pas de les amener avec vous pour cette soirée découverte, dans un lieu d'exception, dépourvu de pollution lumineuse.
Après une description des principaux objets du ciel et des constellations visibles à l’œil nu. Après avoir appris comment se repérer dans le ciel. Nous rendrons visite à Mars et Vénus, avant qu’elles ne disparaissent sous l’horizon, alors que s'installe la nuit profonde. Puis, à l’aide de différents télescopes, nous observerons le voisinage du soleil pour comprendre la vie et mort des étoiles. Une soirée insolite d'échanges privilégiés avec des chercheurs pour discuter astronomie sous la voûte céleste...
N'oubliez pas de vous couvrir chaudement. Le jardin du Lautaret est situé à 2 100m d'altitude et les nuits peuvent être très fraîches. Soirée thermos compatible.
En cas de mauvais temps la soirée sera annulée et vous serez prévenu.
Jean-Jacques Correia est ingénieur de recherche à l'institut de planétologie et d’astrophysique de Grenoble (IPAG, UGA/CNRS), spécialiste en conception mécanique et thermique, en charge de la conception d’instruments d’optique adaptative et de spectromètres infrarouge. Auparavant, au laboratoire atmosphères, observation spatiales (LATMOS, UVSQ/CNRS), il a participé à la conception de plusieurs instruments spatiaux destinés à l’étude du système solaire.
Pierre Kern est ingénieur de recherche à I’PAG (UGA/CNRS). Diplômé de l’École Supérieure d’Optique, il a soutenu en 1990 une thèse en astrophysique et technique spatiale à l’Université Paris 7, sur le premier instrument d’optique adaptative explicitement dédié à des applications d’astrophysique. Les travaux qu’il a menés ensuite à Grenoble lui ont permis de devenir instrumentaliste, spécialiste de l’optique à haute résolution angulaire pour l’astrophysique, en optique adaptative, puis en interférométrie. Il a participé à la préparation et à la réalisation de grands instruments pour le Very Large Telescope (VLT) de l’ESO (European Southern Observatory). Il a aussi œuvré pour l’émergence de technologies innovantes appliquées à l’instrumentation en astrophysique, notamment en micro-optique conduisant à faire émerger la thématique de l'astro-photonique.
Fabien Malbet est directeur de recherche à l'IPAG (UGA/CNRS). Il a effectué une thèse en 1992 portant sur l'environnement circumstellaire des étoiles jeunes. En 1995, il intègre le CNRS, après 2 ans de post-doctorat sur les techniques d’interférométrie, au centre JPL de la NASA en Californie. Ses thèmes de recherches sont la physique des objets stellaires jeunes et des systèmes planétaires extrasolaires, ainsi que l'instrumentation à haute résolution angulaire (coronographie, interférométrie, astrométrie, détecteurs). Parmi ses principaux résultats, on peut citer la détection et la cartographie à très haute résolution spatiale des disques protoplanétaires autour d'étoiles jeunes de la taille de systèmes solaires, ainsi que le développement de l'optique guidée pour l’astronomie en collaboration avec Pierre Kern. Il a également assumé la responsabilité scientifique de l'instrument AMBER pour l’interférométrie au VLT. Fabien Malbet est aussi directeur adjoint de l'Observatoire des Sciences de l’Univers de Grenoble (OSUG) et directeur du Labex FOCUS, communauté de recherche qu’il anime sur la thématique des détecteurs en astronomie. Son sujet actuel de recherche est l’astrométrie de très grande précision pour l’étude des systèmes extrasolaires du voisinage solaire.
Julien Milli a effectué une thèse sur les disques circumstellaires et la formation planétaire. Il a réalisé ses recherches à l’IPAG (UGA/CNRS) et à l’ESO. Il a ensuite fait un post-doctorat à l’ESO de Santiago du Chili, avant d’occuper un poste d’astronome-support au VLT au Chili, où il était en charge des systèmes d’optique adaptative. Depuis 2020, il est astronome-adjoint à l’OSUG, rattaché à l'IPAG, et continue ses recherches sur la formation planétaire et les techniques d’imagerie directe des planètes et disques. Il s’intéresse particulièrement aux poussières libérées par les objets du système solaire comme les comètes mais aussi détectées autour d’autres étoiles, reliques de la formation planétaire.
Sébastien Maret est chercheur à l'IPAG (UGA/CNRS). Après une thèse sur la formation des étoiles au centre d’étude spatiale des rayonnements à Toulouse, il rejoint le département d’astronomie de l’université du Michigan pour un postdoctorat, avant de rejoindre l’IPAG en 2008. Il y poursuit ses recherches sur la formation des étoiles et des planètes, grâce à des observations avec des radiotélescopes, comme l’interféromètre ALMA situé au Chili et l’interféromètre NOEMA dans le Dévoluy. Il participe régulièrement à des soirées d’observation à destination du grand public. Profil Mastodon : https://scholar.social/@sebastienmaret
L'origine de la vie en 10 podcasts
Que savons-nous de l’origine de la vie sur Terre, et où la chercher ailleurs dans l’Univers ?
Une série sur les exoplanète réalisée par l'IPAG et le magazine Ciel & Espace
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